lundi 1 décembre 2008

L'entreprise familiale - suite















7 commentaires:

Anonyme a dit…
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Anonyme a dit…

Incroyables, toutes ces photos! On dirait une vraie visite guidée !! Une question : pourquoi autant de femmes dans les abrasifs?

pacolem a dit…

JU : Parce qu'à cette époque, les "toiles émeris" ètaient fabriquées par étalage à la brosse de la colle et des gains sur des châssis de bois, comme les toiles des peintres.
En revanche, la manipulation des meules nécessitait des "gros bras" !

Anonyme a dit…

impressionnantes ces machines et intéressantes ces photos s'il y en a d'autres n'hésites pas !

au fait, ça veut dire quoi CETA ?

Unknown a dit…

Monsieur

Je souhaiterais entrer en contact avec vous. Cela concerne l'histoire de la CETA.
Cordialement
Martine Dancer
Conservateur
Musée d'Art Moderne de saint-Etienne
42100
m.dancer@agglo-st-etienne.fr
04 77 79 52 46

Anonyme a dit…

Bonjour, pas d'adresse mail alors je laisse ma requête ici espérant qu'elle soit lue...

Je tente de reconstituer le parcours d'un poilu de la "der des der", pendant les combats mais aussi sa vie "d'après". Il se trouve qu'il a travaillé dans cette entreprise en tant qu'agent technique dans les années 20.

Il s'appelait David Henri Némoz, auriez vous des archives du personnel, des photos ?

Si vous voulez bien me contacter :

lpinon.2007[at]laposte.net

merci

Méhaut J a dit…

Bonjour,
Je suis un descendant de Mrs Fortin, société Fortin et Saunier, abrasifs, citée dans votre article.
Elle est restée active jusque dans les années 1960 avant d'être absorbée et dissoute par 3M (via CETA ?).
L'usine était à Bobigny, le siège à Paris XIIeme.
Elle contrôlait aussi l’exploitation de galets du Hourdel ...
Sa fondation remonte également à l'époque napoléonienne.

S'il est encore temps, j'aimerais échanger sur cette histoire.
mars 2022
Jérôme Méhaut
j.mehaut@free.fr