mercredi 25 février 2015

LA BÊTE INCONNUE

QUIZ = D'où sort-t'elle cette bête inconnue...
RÉPONSE =...................................................

lundi 23 février 2015

TRÊVE DE GOUVERNANCE


Imaginons...
Imaginons qu’une Autorité Supérieure (improbable) décide
un gel total de toute action gouvernementale !
Une sorte de trève du législatif et du réglementaire.
un maoisme écolo !...
On enverrait tous les ministres, députés et cabinets à la campagne, dans une ambiance verte et zen.
Avec, évidemment confiscation des portables, interdiction d’accès aux médias et vice-versa.
Qu’arriverait-il ?

Cette pensée cocasse et inconvenante  a brusquement
surgi pendant la lecture affriolante des débats parlementaires sur la loi Macron, l’opéra pathétique des amours brisés dans la Majorité, le quadrille des queues de poisson dans l’Opposition, les déclarations péremptoires et les petites phrases assassines des ténors, dans la peur d’être oubliés, les coups de gueule des syndicats  aussi agaçants et nuisibles que les éclats de rire enregistrés du cinéma d’antan !
et ce beau pays de France, remâchant sa vieille mélopée socialo  éculée...
L’article 93-3 est devenu le centre de la pensée tricolore.

Après cette poussée de fièvre, promis, on va s’attaquer courageusement aux taxis illégaux, aux horaires des magasins, au patriotisme à l’école, au yes-or-not burka, à la pollution des diésels, aux sacs plastiques, aux “seuils” dans l’entreprise, au bruit des éoliennes, aux crèches municipales et à toutes ses choses qui feront certainement progresser la croissance économique !




Le Français moyen, c’est-à-dire tout le monde, est assis sur son cul, déboussolé.

Il passe par trois phases :
1- Le vide, l’angoisse de l’enfant qui a perdu sa mère.
2- La découverte d’une mère castratrice et lointaine.
3- La délivrance, conséquence positive du
    “tous pourris”...
Tout ce melting-pot du monde polico-médiatique me fait rigoler-jaune, alors que les hordes sanguinaires avancent aux portes de l’Europe, que le Moyen Orient et l’Afrique s’enfonçent dans l’horreur, que le tsar slave s’obstine à jouer perso en rejetant ses meilleurs amis potentiels !

Maintenant que nous avons supprimé toute Gouvernance,  interdit toute modification du statu-quo législatif et réglementaire, que va-t-il se passer ?
Les gens, délivrés, soulagés, n’ayant plus peur de ce qui pourrait leur tomber demain sur la tête et les paralyser, ou les culpabiliser, vont respirer un grand coup et se mettre au travail.
Comme ils sont dynamiques et généralement intelligents et débrouillards, ils circuleront avec dextérité dans cette sorte de maquis figé.
Ils découvriront toutes les failles et les opportunités du système et en tireront profit, sans risque.
Ils s’enrichiront et tout le monde avec, sachant que “plus il y a de riches, moins il y a de pauvres”, l’arsenal répressif actuel ètant suffisamment efficace pour empêcher des abus trop massifs -
à condition qu’on l’applique sans interprétations réductrices !

Ainsi, après quelques soubresaut, dûs à une nécessaire adaptation, comme un animal ayant été trop longtemps enfermé hésitera à sorti de sa cage.

La croissance et la prospérité revenues, une Gouvernance  pourra être progressivement restaurée, ses nouveaux responsables comprendront d’eux-mêmes qu’il faudrait mieux s’attaquer enfin aux choses sérieuses...




     Welcome to big brother city ! 

dimanche 22 février 2015

Quelques bons mots de CHURCHILL

...découverts par hasard.

Le vice inhérent au capitalisme, c'est le partage inégal des bénédictions,
la vertu inhérente au socialisme, c'est le partage équitable des malédictions.

Écolier : Les sujets auxquels les examinateurs étaient le plus attachés étaient ceux
qui me plaisaient le moins. [...]
J'aurais aimé que l'on me demande ce que je savais, tandis qu'ils me demandaient
toujours ce que je ne savais pas.
Alors que j'aurais  volontiers étalé ma science, ils s'efforçaient de faire ressortir mon ignorance.

...Dans.la guerre, qui est une forme intense de la vie, le hasard ôte tous ses masques et se présente ouvertement comme l’arbitre suprême des hommes et des événements.
Vous mettant en route le matin, vous oubliez vos allumettes.
Au bout de cent mètres, vous faites demi-tour, évitant ainsi l’obus qui a parcouru quinze kilomètres pour vous rencontrer...
Vous restez en arrière une demi minute de plus pour présenter vos respects à un officier étranger arrivé à l’improviste.
Un autre homme prend votre place dans le boyau. Boum !, il est mort.
Marchez à droite d’un arbre donné et vous poursuivez votre chemin jusqu’à prendre le commandement d’un corps d’armée.
Marchez à gauche et vous rentrerez chez vous mutilé ou paralysé à vie !
La Fontaine écrivait :
 “On rencontre souvent  sa destinée par les chemins qu’on prend pour l’éviter !”