vendredi 25 décembre 2009

LES PRÉDATEURS DE LA NUIT


Passera...?
Passera pas...?
Hum... passera pas !
Le collet...je l'ai vu !

jeudi 24 décembre 2009

samedi 19 décembre 2009

Neige sur Saint Eloi

Une ombre silencieuse s'avance sur la neige glacée...

mercredi 16 décembre 2009

LA CHASSE AU BOZON

Le fait que des gouvernements aient accepté d’engager 3,76 milliards d’euros pour faire la chasse à ce mystérieux Bozon de Higgs prouve que l’affaire est sérieuse !
D’autant plus que personne ne l’a vu, ni entendu, ni détecté et que la probabilité de son existence n’est apparue qu’à travers des formules mathématiques…

Là dessus, ces mêmes gouvernements se sont entendus pour faire construire un tunnel en forme d’anneau de 27 Km à 100 mètres sous terre, à la frontière franco-suisse.
Cette cathédrale annulaire renferme le laboratoire de tous les extrêmes :
* 1746 aimants supraconducteurs, refroidis dans de l’hélium fluide proche de –271°
(0 absolu)
* les faisceaux de protons lancés dans l’anneau effectuent 11245 fois le tour de l’anneau en 1 seconde.
* La montée en puissance progressive devrait atteindre mille milliards d’électronvolts
* L’un des quatre détecteurs construits à l’intérieur d’immenses cavernes peut contenir l’Arc de Triomphe de Paris !

Au stade actuel du développement, deux faisceaux de protons sont injectés dans l’anneau, en sens inverse, encore à basse énergie.
Le but final est de provoquer des collisions à grande vitesse pouvant faire jaillir des particules élémentaires jamais observées, dont notre fameux Bozon fantôme !

Voilà pour le décor.
Il paraît que ce problématique Bozon pourrait expliquer l’origine de la masse de toutes les particules de l’univers…
y compris la sienne !
A-t’on pensé à ce que pourrait faire notre Bozon ainsi réveillé en sursaut par le bruit dantesque de ces chocs de particules ?
Peut-être qu’il s’amusera à créer un deuxième univers ?
Peut-être aussi que l’on découvrira qu’il existe tout un paquet de particules encore plus petites, inconnues…
…et ainsi de suite jusqu’à l’infini ?
Cette chasse ne serait qu’une étape d’une quête jamais terminée…

Depuis hier, la puissance a été portée à 1180 milliards d’électronvolts !
Et ce n’est qu’un début !
« Nous ne savons pas ce que nous allons découvrir »
Confesse un savant, en toute modestie .
Passionnant !

mercredi 9 décembre 2009

jeudi 3 décembre 2009

DISCRIMINATION

Tous les matins, mes quelques 25 colverts, dits sauvages, m’attendent devant la porte en attendant leur ration de maïs.
Nous prenons notre petit dej ensemble, eux dehors, moi dedans.
Le groupe est relax. Certains bavardent, d’autres sont assis dans l’herbe, d’autres encore se dandinent et certains outsiders se baignent avec délice dans l’eau glacée de l’Essonnette .
Ce n’est pas encore la saison des flirts et l’harmonie règne.

Quand je projette le grain en éventail, tous se précipitent et c’est la goinfrerie générale, ponctuée de quelques coups de bec quand les corps se télescopes.

Pourtant, depuis quelques semaines, j’observe que l’un des canards reçoit des coups de becs nettement plus agressifs, l’obligeant à s’éloigner et à revenir par un autre côté, car il tient malgré tout à bouffer sa ration.
Pourquoi lui ? Car c’est bien toujours sur ce même canard que l’hostilité du groupe se manifeste.
C’est un beau mâle, massif, aussi coloré que les autres et rien dans le décor de son plumage ne le distingue des autres machos de la bande.

Il y a pourtant une raison.
Et cette raison, je la découvre : Tous ces colverts ont des becs jaunes, mais lui, il est le seul à posséder un bec blanc, ou plutôt décoloré !

Hasard de la génétique ? Issu d’une autre ethnie ? D’un autre clan ?
Ou bien parce qu’il a trempé son nez dans une bassine javellisée par une madame Michu voisine !

Je ne sais. Je constate.
Je constate également qu’il n’y a jamais de vraie méchanceté chez ces oiseaux.
A part quelques altercations plus virulentes à la saison des amours, avec quelques plumes qui volent, les conflits sont du genre : « Ôtes-toi de là…tu me gênes…et tu pue ».
Et l’autre s’en va, sans rancune apparente.
En revanche, les viols sont fréquents, mais à part une fuite éperdue de la future victime pour le principe, vite rattrapée , elle semble tout à fait consentante…

dimanche 29 novembre 2009

Les feuilles mortes


Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emporte dans la nuit froide de l'oubli.

vendredi 20 novembre 2009

Les gaietés du commerce

C’est décidé. Je vais assouvir un désir impatient :
Acheter un presse-citron électrique !
Na !
J’en ai marre de me faire mal au poignet en extrayant le jus de mon pamplemousse du matin
et du citron de mon thé.
Auchan propose plusieurs modèles.
L’un me convient parfaitement.
Petit et compact, mais aucune mention sur l’emballage ne précise qu’il est électrique.
En parcourant minutieusement le détail des illustrations, j’aperçois ce qui ressemble à une fiche mâle.
OK. J’achète.
Retour à la maison. Petit manuel d’emploi en 13 langues, corps 10, classées par ordre alphabétique pour ne pas créer de frustrations.
Le français se trouve en 7 ème position, coincé entre le suomi ( ?) et l’italien.
J’en extrait le plus savoureux :
« Ne plongez pas le bloc moteur dans l’eau… N’utilisez pas l’appareil si le cordon d’alimentation ou d’autres pièces sont endommagées. Si le cordon est endommagé, il doit être remplacé…par un technicien qualifié pour éviter tout accident »
Et voici le plus beau :
«Cet appareil n’est pas destiné à être utilisé par des personnes…dont les capacités physiques, sensorielles ou intellectuelles sont réduites, ou des personnes manquant d’expérience ou de connaissances, à moins que celles-ci ne soient sous surveillance ou qu’elles aient reçu des instructions quant à l’utilisation de l’appareil par une personne responsable de leur sécurité. »
Et plus loin :
« Cet appareil est conforme à toutes les normes relatives aux champs électromagnétiques. Il répond aux règles de sécurité établies sur la base des connaissances scientifiques actuelles, etc… "

Dois-je rendre l’appareil la peur au ventre, ou m’inscrire à Polytechnique ?
Mon jus était délicieux…


dimanche 8 novembre 2009

Le Prêcheur de nulle part

dessin de Nicole de L.R.

... Il dit,
mais il disait n'importe quoi,
parce qu'il était distrait.
Par delà les corps accroupis
il avait remarqué un jeune plant vigoureux,
dont il aurait bien voulu se faire un bâton de marche.
Alors, le prêcheur se dirigea vers la forêt.

On était en Barbarie.
Le prêcheur était venu là, au hasard de sa marche errante
à travers ce monde sans fin.
Les gens étaient séduits
par l'étrange musique de sa parole
et la majesté de son visage,
mais ils ne comprenaient pas les mots,
le sens des mots.

Le prêcheur ne cherchait pas à les convaincre,
à les persuader de quoi que ce soit.
Il ne parlait pas la même langue qu'eux
et cela n'avait aucune importance.
Il s'assit sur une grosse souche
et se mit à tailler son bâton de marche.

Il s'adressa aux arbres.
Il s'adressa aux fleurs.
Il s'adressa à toutes les petites choses vivantes,
qui sont l'âme de la forêt.
Il s’adressa aux gens.
"Pourquoi tous ces braves gens m'écoutent-ils ainsi ?
Ma parole est obscure,
Leur pensée ne peut fonctionner aux choses que je dis
et pourtant, ils sont là, autour de moi,
buvant ma parole,
comme des bêtes assoiffées dans le torrent découvert.

Est-ce cela, la puissance du Verbe ?
Le Verbe existe-t-il ? Est-ce une énergie en soi ?
Comme un être vivant, hors de celui qui le crée ?
Jéricho, Jéricho !
La puissance du Verbe logeait-elle dans les trompes
qui abattirent tes murailles ?...”

Alors,
le prêcheur se leva et s'étira.
Le bâton était beau.
Le bois en était noble, noueux, nerveux, doré.
Le pommeau lisse, arrondi,
comme le genou d'une fille.
C'était une canne belle et solide pour la marche.

Les villageois étaient toujours là,
fesses au sol, jambes croisées, têtes baissées.
Un gros bébé tétait sa mère, le Verbe ne l'ayant atteint.
Quelques garçons et filles, intimidés, jouaient aux osselets
en étouffant leurs rires.
Chacun, pourtant, s'éveillait
et revenait à la réalité de l’instant,
au grain à battre,
au char à réparer.

Le prêcheur grimpa sur la croupe de son petit âne velu
et son regard erra, lentement, sur les têtes et les visages.
Alors, il essaya de nouveau
la puissance du Verbe.
Il dit ceci :
"Peuple d'exploités, réveillez-vous !
Vous répandez votre sueur sur cette terre.
Votre sang et vos larmes en sont l'engrais.
L'on vous arrache votre cœur.
L'on s'engraisse de votre chair
et l'on étouffe votre esprit..."
Tout cela était facile,
En d’autres temps, on dirait “C’est la langue de bois...”
Il ne cherchait ni les idées, ni les mots,
sa parole coulait comme la source du village.
"...et vous, peuple fier,vous tolérez cela ?..."

Les mots se pressaient sur ses lèvres,
sa voix devenait plus forte, plus cuivrée,
elle martelait les syllabes :
"Li-bé-ra-tion... révolte... lendemains qui chantent...
pionniers d'un monde meilleur.... "
Il dit cela,
et puis d'autres choses encore,
comme ça, sans y penser,
répétant ce qu'il avait déjà entendu, un jour, quelque part
et il parla longuement.

La peau de l'âne était chaude
et celui-ci parcourait l'assemblée à petits pas,
arrachant paisiblement,
deci, delà,
de jeunes pousses tendres et parfumées.
Le prêcheur se sentait gentiment bercé,
dans une douce torpeur,
une ouate moelleuse envahit sa pensée.
Ses mots résonnaient maintenant
comme autant de coup de gong :
"Égalité... justice... mort aux tyrans..."
Il s'efforça encore de prononcer quelques paroles,
mais le sommeil
l'avait paisiblement recouvert de son épais
et bienveillant manteau.

Le prêcheur sommeilla longtemps,
bercé par le petit âne poilu,
que tout cela ne concernait point.
La lueur d'une flamme
et son crépitement,
lui rendirent sa conscience.

Alors, il perçut une odeur âcre
et le dégoût fut dans l'air.
De hautes flammes se tordaient par dessus les maisons.
Elles ressemblaient à des danseuses arabes
au paroxysme de leurs rythmes.
Déjà un peu lasses,
elles se retournaient sur elles-mêmes
et puis, soudain, se dressaient,
jetant des lueurs fauves.

Des corps disloqués,
suspendus,
oscillaient dans la brise nocturne
et partout,
sur le sol,
dans les branches des arbres,
d'autres corps,
ouverts, déchirés, démantelés, torturés, brulés,
comme ces indéfinissables déchets que l'on rencontre
à marée basse,
sur les longues plages du Nord.

Là-bas, au loin, par delà les ruines,
des cris trouaient l'opacité gluante de la nuit.
Une aura étonnée,
imprégnant la désolation.

Le prêcheur se détourna,
une masse sur le cœur et retourna vers nulle part..
"Le Verbe est redoutable. C'est une fronde.
Il vole sur les esprits, s'amplifie, s'accélère,
pénètre les cerveaux, façonne la pensée,
à sa guise,
et pourtant......pourtant,
ces gens ne pouvaient comprendre
les mots que je leur disais......

samedi 24 octobre 2009

lundi 19 octobre 2009

Lu dans la presse

Certaines informations se logent dans les journaux comme d’anciennes petites maisons entre les grandes tours d’acier et de verre des métropoles modernes.
Depuis quelque temps, j’en collectionne un certains nombre, que je trouve particulièrement savoureuses.
En voici quelques unes...

- Urinez sous la douche !
Pour sauver la planète, une ONG brésilienne recommande de faire pipi en se lavant sous la douche, pour économiser l’eau.

- Une femme recouvre la vue grâce à l’implantation d’une dent dans l’oeil.
Opération effectuée à Miami, suivant une technique mise au point en Italie dans les années 60.

- La ville d’Oslo s’apprête à rouler “propre” grâce à ses eaux d’égout.
Ses bus seront alimentés avec du biogaz issu d’une station d’épuration.
En allant aux toilettes, une personne produit 8 litres d’équivalent diésel par an. Multiplié par 250000,ça permet de faire rouler 80 bus à raison de 100000 km chacun !... et de réduire de quelques 80 % les émissions d’oxyde d’azote-

- “Sauvez les petits veaux” proclame la photo en une du journal. Nunatsiaq News.
Deux jeunes Inuites en costume traditionnel caressent une veau promis à l’abattoir en Europe... suivez le bébé phoque !

- Un éclairage rose vif pour dissuader les attroupements d’ados !
Cet éclairage a la propriété de faire ressortir l’acné et autres petits boutons des adolescents, ce qui devrait les faire fuir...et si ces jeunes mettaient une cagoule ?
Autre initiative britannique : des ultrasons stridents audibles uniquement par des oreilles juvéniles...comme pour les pigeons.

- Une étude italienne révèle que 61 % des voitures et des bateaux haut de gamme appartiennent à des personnes vivant dans la misère.
Avec un revenu inférieur à 15000 €.... éternelle Italie !

- “Voici l’occasion unique de pouvoir passer l’éternité juste au dessus de Marilyn Monroe”.
Le tombeau situé au dessus du sien est mis à prix à 500000 $ sur eBay
Ce tombeau est occupé actuellement par un entrepreneur que l’épouse a décidé de déloger pour payer les traites de sa maison de 1,6 million de dollars à Beverly Hills.

- Une carte postale délivrée au bout de 72 ans !
Postée en 1937 et Adressée à une fiancée monégasque décédée depuis depuis 40 ans.

- Conan la bactérie = Un microbe quasiment invincible.
résiste à 5000 fois la dose de rayons gamma, mortelle pour l’homme !
Mais aussi à la dessiccation, à la glaciation, au vide, aux produits chimiques toxiques pour l’ADN, aux rayons ultraviolets et même : à la famine !
... En plus, elle répare son ADN cassé... en recollant les morceaux cassés dans le bon ordre, en recopiant et en nettoyant les erreurs de copie...
Cette petite merveille s’appelle : Deinococcus radiodurans.

- Les grandes surfaces commerciales font leurs courses sur le marché “gris”.
C’est-à-dire qu’elles vendent moins cher certains produits achetés à l’étranger : ex. du coca-cola acheté au Vietnam ou encore de l’eau Pérrier produite à Vergèze (France), en provenance d’Allemagne !

- La machine toute neuve installée sur la station spatiale ISS, destinée à recycler l’urine des astronautes en eau potable est en panne !
Un petit tuyau reliant directement la quequette de l’astronaute à sa bouche ferait l’économie d’un recyclage incertain !

- La magie du troc envoûte New York
Des massages contre une chambre, de la plomberie contre du baby-sitting, les échanges non monétaires envahissent la grande pomme, capitale de la finance internationale !

- Pour produire une seule des particules cosmiques, détectées en Argentine, il faudrait construire un accélérateur d’une circonférence égale à 7000 fois le tour de la terre.
Un gramme de ces particules pourrait satisfaire les besoins électriques de la France pendant 6 millions d’années... mais il en faut cent mille milliards de milliards pour faire un gramme et dix millions de fois l’âge de l’univers pour en recueillir autant... à vos calculettes !

- Aux Maldives, premier Conseil des Ministres à six mètres sous la mer.
En tenue de plongée, autour d’une table en fer à cheval pour alerter les autorités mondiales sur la prévisible disparition de l’archipel, conséquence du changement climatique.
Des unités spéciales de l’armée surveillent les requins...

Après avoir visité quelques unes de ces petites maisons dans la ville médiatique, revenons vers les tours d’acier et de verre : Clearstream, Afghanistan, Somalie, Grippe, Morts sur les routes, OGM, Radiations, Pollution, Réchauffement climatique, Séismes, Cancer, Violences urbaines, Fiscalité, Justice, Prolifération nucléaire, Inégalités, Crise, Chômage, Principe de précaution, etc...etc...

BEURK !...

vendredi 16 octobre 2009

jeudi 8 octobre 2009

souvenir du temps passé...

Photos prises par Sam Bates (3M US) lors de sa visite à St Eloi.
Cela paraissait hier et pourtant je ne reconnais pas mon bureau !
Cherchez les "erreurs"...




















vendredi 2 octobre 2009

Record battu !!!

Surface labourée, profondeur des trous,
cette fois c'est la "totale" !
C'était la nuit des longs-couteaux.
Je renonce, j'abandonne...ils ont gagné.
Le parc est à eux.Celui-là, au moins, ne recommencera plus.
Il est rentré par un trou dans le grillage, mais il ne trouvait plus la sortie...


mardi 29 septembre 2009

le dessin du jour


L'oiseau-mosaïque

vendredi 18 septembre 2009

ERADICATIONS

Au cours de l’ère stalinienne, on supprimait sur les photos officielles les dignitaires disgraciés.
Dans nos démocraties modernes et grâce aux progrès de l’infographie, on supprime tout ce qui n’est pas idéologiquement correct : La cigarette de Lucky Luke, celle d’Alain Delon dans laPiscine, y compris les taches jaunes sur les doigts, celle d’André Malraux sur un timbre à son effigie et la pipe de M.Hulot.
Soit, la vertu prime le devoir de mémoire.


Il s’agit maintenant de savoir
si on va supprimer la maudite chose
dans la main de Chirac sur un ouvrage
qui lui ait dédié.
La polémique enfle…
Ceci fait, il donnera vraiment
l’impression de s’emmerder !
On ne peut qu’approuver des mesures
aussi radicales, au nom de la santé publique
et, bien sûr, de la sauvegarde de la Sécu ?


The french touch A New York *


Alors, par la voix de mon modeste blog, je propose solennellement que l’on aille au bout de cette vertueuse logique : Que l’on éradique toutes les armes visibles sur la totalité de l’iconographie mondiale…Presse, livres, cinéma, TV, internet, publicité, etc…
Cela me paraît plus valorisant que quelques fumerolles maléfiques !
On remplacerait les fusils par des coquelicots, les revolvers par des œillets, les canons par de gros bouquets de roses sur les essieux,
les tanks par de jolis chars fleuris
et les déflagrations atomiques par de grands feux d’artifices.
Dans un deuxième temps, on pourra s’attaquer aux couteaux de cuisine et aux canifs.

Songez à l’immense travail, sur plusieurs années, de milliers de graphistes de par le monde, qui ne connaîtraient plus le chômage !

Mais d’abord, il faut re-rédiger tous les albums de Tintin et autres livres racistes (nombreux), sans oublier Astérix, qui traite les Romains comme des sous-hommes demeurés, tout juste bons pour recevoir des baffes !
En fait, nous sommes tous le raciste de quelqu’un…




*Devrais-je effacer la « carotte » ???

mercredi 9 septembre 2009

la photo du jour


...sur notre route
Artistes ou vandales ?
Porte rouillée ou art de la rue ?
A vous de juger...

Mais quel talent !

dimanche 6 septembre 2009

la conque marine

Laurent, comme chaque matin,
courait sur le sable
à petites foulées régulières,
sur cette frange plate et dure
qui n'est plus la plage
et pas encore la mer.

De loin, là-bas, il vit un objet conique.
C'était une grande et belle conque marine,
de nacre rose en dedans,
de nacre blonde en dehors,
rejetée là par quelque vague rageuse.

Tout joyeux, il la prit
et comme tout le monde,
mit son oreille dedans,

puisque, dit-on,
l'on y entend
chanter la mer.

Et la mer lui parla :
Je suis la mer,
chaude et mouvante,
douce et ample,
tendre et puissante,
et amante,
viens en moi.

Je suis belle et je t'aime,
avec moi tu seras
éternellement bercé
au rythme lent
de mes soupirs.


Viens en moi !
Je suis la mer immense.
Je suis la mère et la maîtresse
génitrice de toute vie.
Viens te fondre en moi.

Laurent regarda la mer.
Une vague plus longue
caressa ses chevilles
et il la suivit
dans son reflux
et la voix de la conque
lui dit:
Viens en moi.

Laurent pénétra dans l'eau
et marcha longtemps,
parce que la mer était basse.
Et puis l'onde l'enserra
et il se sentit bien
et nul ne le revit jamais

samedi 29 août 2009

le dessin du jour

la légende du joueur de flûte

jeudi 27 août 2009

Les avatars du commerce moderne

Ou: La conquête d'un pèse personne
comédie satirique et véridique...

ACTE 1 = Notre pèse-personne est mort…
Pas question de réparer…Ça ne se fait plus.
L’ouverture de la boîte coûte plus cher qu’un appareil neuf.
Bon, il faut s’y faire.

ACTE 2 = Visite chez Darty.
Une dizaine d’appareils alignés s’offrent à ma convoitise.
On dirait les girls de la madame-au-chapeau !
Je choisis l’un des deux modèles à cadran avec aiguille et qui ne parle pas.
J’aime voir l’aiguille monter, monter jusqu’au chiffre fatidique
et je n’aime pas les chiffres bruts qui vous arrivent brutalement dans la gueule.
On peut discuter avec une aiguille qui oscille, pas avec un chiffre péremptoire.
Idem pour les montres : les aiguilles évoquent la durée, les chiffres, l’heure de l’instant.



Il est joli, tout laqué blanc, son cadran, bien lisible, inspire confiance.
J’achète.

ACTE 3 = Recherche d’un vendeur. C’est une vendeuse, occupée à écouter une cliente racontant sa vie à propos d’un batteur à sauce électronique à puce (j’imagine…).
C’est long. Sa vie paraît complexe.
Enfin c’est à moi. Tapotage sur l’ordi. C’est long.
L’ordi proclame : pas disponible en stock. Délai 8 jour.
OK, je confirme. Paperasse, formulaires, je paye.

ACTE 4 = Semaine suivante, l’appareil est là.
Ou plutôt il m’attend dans l’antre du service livraison.
Petite chose perdue entre les armoires frigorifiques king-size et les machine à laver avec programmateurs multifonctions à commande vocale…
Mais pas touche avant nouvelle séance paperasse. Bon de garantie. Mise à jour de mes coordonnées. Dotation d’une carte Darty avec commentaires emphatiques sur l’immense honneur qui m’est dévolu.

ACTE 5 = Enfin, je peux délivrer cette petite chose, que je déshabille promptement chez nous. Carton, plastique, coquille, ciseaux, couteau, j’extrais enfin son beau corps tout nu.
Oh ! surprise…il n’y a aucune notice, ni mode d’emploi, ni même ces longues mises en garde sécuritaires qui vous découragent d’essayer le produit. (ne pas mettre le bébé la tête en bas…attachez le chat avant le peser, etc…)
Normal, me dis-je, c’est tout simple : on monte dessus et on regarde l’aiguille !
Et ça marche.

ACTE 6 = Ça baigne, mais cette petite carte plastifiée Darty m’intrigue.
Je visite le site. Mot de passe. Nouvelle surprise… un écran total apparaît avec toute mon « identification » : non, adresse, âge du capitaine, etc…et surtout la liste complète de tous les achats de matériels « durables » effectués par moi depuis 2001 Chapeau.
Là, s’étale mon pèse-personne, sa référence et en bout de piste « notice à télécharger ».. Evidemment-bien-sûr, j’avais oublié, c’est maintenant comme ça .
Le mode d’emploi, il faut se l’faire soi-même.
Je télécharge…38 pages !

ACTE 7 = 38 pages d’instructions, c’est vraiment un mammouth pour écraser une souris ! Je doute.
Je bascule l’ouvrage sur « aperçu », avec son tiroir et je parcours les pages.
Je découvre que sur les 38 pages, deux seulement sont en français.
Tout le reste est en moldo-slovaque, anglais, mongol, cyrillique, etc…

ACTE 8 = J’imprime et lis : « Les piles sont dans un sachet scotché au verso de l’appareil, ou bien préalablement insérées dans le compartiment à piles. »
J’ausculte la bête. Rien d’apparent. Son ventre est lisse comme celui d’une jeune fille ! Ni sachet, ni compartiment visible.
Logique,,, puisque c’est un mécanisme essentiellement mécanique !
Je retourne sur le site DARTY. Je compare la référence avec celle de ma facture : Rien d’anormal.
… sauf que cette référence est fausse et correspond à un autre appareil

CONCLUSIONS
Un quidam qui n’aurait pas d’ordinateur et une indifférence béton vis-à-vis de l’internet, ne se serait posé aucune question, aurait grimpé sur son pèse-machin acheté au bazar du coin et reluqué son poids en toute bonne conscience…

mardi 11 août 2009

si j'étais un éléphant...

…du parti Socialiste, je dirais à mes collègues :
Notre parti, au glorieux passé, est en pleine déconfiture…
Les raisons probables sont multiples et sont largement analysées et discutées dans la sphère politico-médiatique.
Pourtant, je pense que la raison est simple, ou plutôt les deux raisons :
1)- La droite française pratique de plus en plus une politique qui s’apparente à du socialisme appliqué : encadrement de la population par une prolifération de réglementations et d’interventions en tout genre, dans notre vie sociale et privée, au nom de notre protection et de notre bonheur collectif.
2)- Personne ne sait plus au juste ce qu ‘est le « socialisme », dont le concept de base est
« l’appropriation par l’état des moyens de production ».
S’ajoutent le combat des chefs, les luttes des clans pour le pouvoir, les diverses « sensibilités », les courants contradictoires, lesquels reflètent très précisément les différentes conceptions du socialisme.

Cela prouve qu’il ne peut exister UN socialisme.
C’est en fait un fourre-tout dans lequel on peut y mettre n’importe quoi, l’essentiel étant de se proclamer « de gôche » !
Cela va de la « dame d’oeuvres », version humanitaire branchée, à la dictature militaire la plus féroce.

Bref, la tendance est à la réforme, dont l’une des propositions est tout bonnement le changement du nom !
Par pitié pour ces pauvres gens, je voudrais leur proposer une autre réforme qui apparemment ne vient à l’idée de personne : celle de la couleur !

Pourquoi tout ce qui se dit de gauche arbore toujours la couleur rouge ?
Parti, syndicats, états, baignent dans le rouge…couleur du sang, mais aussi couleur du NON, couleur négative, couleur de l’échec.
Feu rouge…la circulation s’immobilise.
Panneau stop…on s’arrête.
Bouton rouge…clignotant rouge…danger….alerte…on coupe le circuit.
Bannière rouge…on arrête le travail…on paralyse l’économie.
Drapeau rouge…baignade interdite, mais aussi échec du soviétisme
Le rouge, c’est le refus, l’enfer, la haine, le sang !
D’ailleurs, votre idole mittérandienne était plutôt arc-en-ciel.
Alors, Kamarades, ne changez pas ce beau nom de « socialiste », même vide de sens, qui attire tous les bobos-gogos de la terre, mais changez de couleur !

Essayons de vous aider.
Le bleu ? Non … surtout pas ! ça sent le « Jeanne D’Arc, Nous voilà ! »
C’est le nationalisme franchouillard et réac. Et puis c’est la couleur des flics et des rois de France (au cinéma)…N’en parlons plus.
Le vert ? Trop tard…c’est déjà pris …Et par de plus socialistes que vous !
Le jaune ? ça évoque le faux-jeton, le traître et puis c’est la couleur du Vatican… et puis les jaunes sont rouges (en Asie).
Le violet ? Que nenni ! C’est vraiment deuil, cul béni, calotte et cie
Le noir ? le néant…les vampires et les anars…le nihilisme…l’idéologie destructrice.
Alors, que reste t’il ?
L’orange ? C’est la révolution des œillets. Hors de propos. Et c’est d’usage temporaire.
Le marron ? Ce n’est pas dynamique et ça évoque l’alimentaire : café, chocolat et l’épicerie fine de la Madeleine !

Voici donc ce que je propose :
Une couleur dont on parle peu, d’autant moins que peu de gens la définisse correctement, ce qui d’ailleurs convient très bien au parti socialiste.
En outre, cette couleur comporte deux versions, c’est la couleur turquoise.
Il y a le bleu-turquoise et le vert-turquoise , ce qui peut satisfaire les deux grands courants du parti, sa droite et sa gauche.


Je vois une grande et belle bannière,
flottant au vent des manifs,
avec un grand soleil dont les rayons
seraient alternativement
bleu-turquise et vert-turquoise.


Pas beau, ça ?

la photo du jour


Moon cruise

mercredi 29 juillet 2009

vendredi 24 juillet 2009

création du vivant 8


LE COL BLANC DU COLVERT














Chefs d’oeuvres de camouflage: la canne, la faisane, la perdrix, autant de plumages invisibles dans leur environnement naturel.
Le canard, en parfait séducteur macho, se pavane la tête haute, avec sa fière tête verte métallisée, et sa belle livrée grise, comme un marié d’autrefois.
Je ne sais si la canne est séduite, mais comme elle est régulièrement violée, et apparemment consentante, je pense qu’elle apprécie...
Mais pourquoi diable ce colvert s’est-il affublé en outre d’un petit col blanc, soulignant sa belle tête verte ?
Artifice inutile, voire dangereux, car il augmente la visibilité de l’oiseau ?
Alors ? coquetterie purement esthétique ?
Mais “qui” a eu cette idée ?
Alors que ce bel oiseau n’en sait lui-même rien !
Et puis, pourquoi lui avoir peint les pattes en orange ?
Faute de goût impardonnable dans cet ensemble harmonieux.

On nous dira: “l’évolution des espèces conduit à une meilleure adaptation des espèces à leur milieu naturel”.
Belle formule ! Mais que signifie le « milieu naturel » pour une espèce donnée ?
Ne serait-il pas plus simple d’émigrer vers un autre milieu naturel, plus convivial, plutôt que d’attendre des millions d’années pour s’adapter ?
C’est l’histoire de la girafe qui a allongé son cou pour mieux bouffer les feuilles des grands arbres…
C’est peut être vrai dans une certaine mesure mais l’on peut se demander pourquoi l’espèce girafe n’a pas plutôt émigrée vers les verts pâturages des prairies occidentales, sans être obligée d’allonger son cou à coup de millénaires ?
Et pourquoi la séduisante lotte-de-mer-épineuse s’obstine t’ elle à vivre dans l’obscurité des abysses sous X bars de pression, alors qu’elle pourrait frétiller comme un maquereau à la surface des eaux bleues ?
D’ailleurs, un certain nombre d’espèces marines sont sorties de leur “milieu naturel”, l’eau, pour déambuler définitivement sur la terre ferme ou dans l’air.
Et que dire de cette bactérie qui répond au doux nom de Deinococcus-radiodurans, dont le milieu naturel devait être une boîte de corned-beef, lieu où elle fut découverte.
Cette bestiole échappe à presque toutes les agressions connues : dessiccation, famine, rayons ionisants et même doses mortelles de rayons gamma.
Quand son ADN est cassé, elle recolle les brins dans le bon ordre, copie le tout après correction et quelques heures plus tard, revit et se reproduit.
Pourquoi cette bestiole primitive a-t’elle été dotée d’une telle faculté et pourquoi en a-t’elle gardé l’exclusivité ?

Autant de questions…sans réponses !... mais dont l’absence de logique - notre logique - laisse pantois !
Revenons au petit col blanc de notre colvert.
Si l’évolution des espèces vivantes est avérée, la question que l’on peut se poser est : “qui” décide du sens de cette évolution ?
“qui” décide que telle espèce prendra une direction différente de celle de son tronc d’origine ?
“qui” décide qu’il y aura des perroquets jaunes et rouges et des perroquet bleus et verts et d’autres tout blanc avec une crête violette ?
Alors que aucun de ces perroquet n’a la moindre conscience du sens de l’ évolution de son espèce, depuis la nuit des temps !
Et quand je dis “qui”, par commodité, je devrais dire “quoi”.
Le hasard, dit-on.
Trop facile...
Des mutations ? Mot très tendance... et l’on retombe sur “qui” ou “quoi” décide de muter, pourquoi et vers quoi ?
Le serpent se mord la queue...

Il faut bien convenir qu’ une sorte de décision est prise quelque part pour orienter l’évolution d’une espèce dans une direction programmée, ou tout simplement pour mettre au cou de notre colvert une petite cravate blanche, sans consultation ni consensus de l’intérêssé !...

Je pense que si l’on peut admettre que l’entité Dieu (“l’inimaginable”, au sens propre du terme) ait pu créer l’Univers, dans sa totalité, espace et temps, il me parait douteux qu’il ait créé la VIE et encore moins les êtres vivants, mais plutôt les conditions de la vie, qui se serait ainsi créée toute seule, à partir de la “soupe” originale.
Ce qui d’ailleurs n’implique nullement la notion de hasard et ne concerne apparemment que notre minuscule petite terre, jusqu’à preuve du contraire !

Mais quid de la différenciation de cette soupe en milliards d’espèces et de sous espèces ?
D’autant plus différenciées qu’elles s’adaptent souvent au même “milieu naturel” de façon radicalement différente !...

Et j’en reviens à ma question de base : Qui a décidé de fabriquer ce beau colvert et de lui mettre un petit col blanc pour souligner sa tête métallisée ?
Le serpent se re-mord la queue...

Les Raéliens, confrontés aux mêmes interrogations sont arrivés à une conclusion cohérente, mais parfaitement simpliste :
Puisqu’on ne peut croire que Dieu a créé la vie sur terre, c’est donc qu’une espèce suprêmement intelligente, venus d’une autre planète, les Elohims, ont créés les hommes par clonage.
Michaël Jackson serait déjà cloné, disent-ils et son clone vivrait maintenant sur la planète des Elohims... Ben voyons !
Si les mythologies antiques, ont multiplié les sous-dieux et déesses, s’est peut-être, consciemment ou pas, pour combler le vide entre création de l’univers et création du monde vivant.

En conclusion, je pense que le “comment” de la création des espèces vivantes peut donner lieu à de nombreuses hypothèses, plus ou moins loufoques, logiques et crédibles, en revanche on ne pourra jamais répondre à cette autre question : “pourquoi ?”.


mardi 7 juillet 2009

Les dessins du jour



la diagonale des fous























la nuit des fous

mercredi 24 juin 2009

le repas du soir



La manne est déjà tombée...
Alors ?
Un ange ?
Le Saint Esprit ?
Ou peut-être un ovni ?...

13 juin : baptême de Georges à St.Eloi

lundi 22 juin 2009

le monde vu par Obama... probablement.

Nos politologues médiatiques s’interrogent:
Comment Obama perçoit-il l’Europe dans son ensemble et la France en particulier ?
Interrogation qui, d’ailleurs, laisse percer un certain malaise...
...et pour cause !
Il n’y a qu’à regarder cette carte redessinée à partir d’un doc de géopolitique, pour imaginer comment un brave et jeune président tout neuf, installé à la Maison Blanche, peut concevoir le monde et en conséquence, l’intérêt des USA.



Pourquoi ce président serait-il préoccupé, ou seulement intéressé par ce qui apparait sur un globe comme un prolongement de l’Asie ?
Par cette mosaïque d’états cacophoniques, arrogants, donneurs de leçons, querelleurs, alliés relativement fidèles, malgré une certaine hostilité latente des populations ?
Par cette impossibilité de parler d’une seule voix, d’avoir une politique commune et pire de parler des dizaines de langues !
Par ce manque cruel de ressources naturelles, par cette industrie de moins en moins concurrentielle, obligée d’aller produire ailleurs pour survivre...en bradant sa technologie, paralysée en outre par l’inconscience suicidaire de ses propres syndicats . (1-3).
Par cette timidité face à l’innovation.

Bien sûr, il y a la culture...
Mais n’est-ce pas une “culture-musée” ?
Parce que dans ce domaine là, aussi, l’innovation vient d’ailleurs !(2)
Artistes américains, écrivains latinos, cinéastes indiens, japonais ou iraniens et maintenant chinois, musiciens venus d’ailleurs...
Nos médias s’enthousiasment, bonne conscience aidant...
Alors ?
Alors, regardez la planète : D’immense blocs de population, disposant de toutes les matières premières et des ressources naturelles, des industries de plus en plus performantes et concurrentielles, Une population instruite, encore marginale, pour peu de temps !
Et surtout une volonté proclamée de s’affranchir de toute tutelle américaine, (politique, économique, financière, culturelle), voire occidentale.
C’est sur cette base que naquit cette structure informelle : le BRIC.
Alors l’Europe !...
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(1) En dehors d’ erreurs flagrantes et répétées de marketing, ce sont bel et bien les syndicats qui ont tué la GM... aux USA !
(2) Il y a peu d’années, on disait : “Laissons le hardware aux américains ou aux japonais, mais nous en France, on est les meilleurs pour le software...ah mais !”
(3) Cf. le port de Marseille...

dimanche 14 juin 2009

les photos du jour

Les italiens sont réputés pour leur maîtrise des peintures en trompe-l'oeil...
Mais dans d'autres pays on trouve de superbes réalisations en trompe-l'oeil appliquées aux décors urbains.
Témoin, cette maison située sur le port d'Alesund en Norvège et ce grandiose décor mural au coeur de Washington.



Une belle réalisation se trouve également à...Puteaux (France)
Mais la photo sera pour une autre fois !...